Agression du Député PS Pascal Terrasse

Le 12 mars 2015 à 18h45 devant la mairie de Saint Montan (Ardèche France)

Une baffe manquée suivie d’un coup de boule au député PS Pascal Terrasse

Mon témoignage

Il est passé devant moi, en retard pour une réunion. Je l’attendais avec l’envie de lui mettre une baffe. Il m’en a mis une avant, lors du vote pour les européennes à St Montan où nous habitons, on se connaît depuis 2011, il y a le tournage de Tom le Cancre entre nous, mais surtout entre ma fille et moi. Je lui ai dit, sans lui sauter dessus, “j’ai franchement envie de vous mettre une baffe”. Il entrait dans la mairie et a marqué l’arrêt, s’est tourné vers moi, et m’a invité à le faire. J’ai fait quelques pas et j’ai essayé de lui mettre une gifle qu’il a esquivée, je l’ai juste frôlé du bout des doigts. Son assistant parlementaire, Charly, qui était juste à côté car nous parlions depuis un moment déjà en l’attendant, s’est emparé de moi et me maintenait (je fais 55 kg pour 1m87). Le député a réagi en disant d’appeler les gendarmes, que là c’est bon, c’est garde à vue et prison. C’est là que, je lui ai mis un coup de boule pas trop méchant mais quand même. Continuer à lire … « Agression du Député PS Pascal Terrasse »

Ministre de l’Éducation, Madame Najat Vallaud-Belkacem

Madame la ministre de l’éducation nationale,

Suite à votre passage à l’émission des grandes gueules sur RMC où vous affirmez qu’il est nécessaire d’alerter les autorités lorsqu’on est témoin ou en connaissance de délits ou de crimes (à propos du passage de Monsieur Luc FERRY sur un média où il dénonce des faits gravissimes, ce que vous critiquez fermement sur la forme), je vous contacte afin de vous faire prendre connaissance de l’implication de l’éducation nationale pour une entreprise prestigieuse qu’est le cinéma, mais illégale puisque le travail des enfants afin de réaliser cette fiction est non-déclaré et dissimulé selon une spécialiste du travail des enfants à la DIRECCTE de Paris, et aussi en réponse au député PS Pascal TERRASSE par la DIRECCTE de l’Ardèche.

Il s’agit de la réalisation l’été 2011 du film TOM LE CANCRE par Monsieur Manuel PRADAL. J’ai porté plainte à ce sujet, mais cela a été classé sans suites par le procureur de la république de l’Ardèche Monsieur Sénéchal, le défenseur des droits a été saisi mais ne reconnait pas non plus le caractère illicite de cette production, le cabinet de la Garde des Sceaux, ministre de la justice, a aussi été contacté.

Cette œuvre cinématographique est présentée comme la continuité d’une activité scolaire, les enfants ont été sélectionnés lors de cette activité afin de passer un casting qui n’a pas été communiqué en dehors de ces écoles du sud-est de l’Ardèche (écoles publiques primaires de Saint Montan et Viviers). Cette activité scolaire était accompagnée par l’inspectrice d’académie Madame Janine Odin, mutée depuis.

Enregistrement audio d’un RDV avec la directrice de l’école qui informe de l’interdiction de dire « bonjour » à mon enfant :

Mon autorité parentale n’a pas été respectée, en l’espèce en utilisant l’image de mon enfant lors de festivals au mépris de mon opposition à cela, le député de votre majorité Monsieur Pascal TERRASSE informé de cette opposition en temps que médiateur dans cette affaire, avant, pendant, et après que l’exercice de l’autorité parentale m’a été retiré au prétexte de « conceptions opposées sur la vie et l’éducation » de mon enfant, conceptions non précisées, et ce dans le cadre de la gestion de mon affaire familiale (divorce) au tribunal de Privas (parquet qui a classé sans suites mes plaintes).

Ci-joint le courrier qui n’a pas obtenu de réponse satisfaisante :

Ainsi dûment informée, vous ne pourrez plus nier, à moins d’être de mauvaise foi (caractéristique de nombreux politiciens) et donc de ne mériter aucune confiance, de certains agissements du « pouvoir » auquel vous participez.

Le film TOM LE CANCRE met en scène un homme-loup mangeur d’enfants (vous saisissez sûrement le lien avec l’histoire du ministre) et une maîtresse amnésique (ne fermez pas les yeux, ne restez pas dans le déni).

Voudriez-vous s’il vous plait contacter cette inspectrice d’académie, et lui demander de me joindre afin d’apporter des éclaircissements sur l’implication de l’éducation nationale pour cette entreprise de corruption morale consistant à impliquer des parents pour l’exploitation de leurs propres enfants grâce à des mensonges qu’on aurait raison d’accepter vu le traitement qui m’est réservé par votre « justice » après que je me sois opposé à ces mensonges (dissimulation du travail des enfants, y compris par un média d’information comme le Dauphiné « libéré »).

Veuillez recevoir l’expression des mes salutations les plus fermes.

Alain Detavernier

Le 4 mai au soir en faisant une recherche d’image avec « le bonheur d’être simplement là » je suis tombé sur un article du blog d’Alain Detavernier daté du 17 mars 2010 (la veille de ma fête), un homme politique du PS qui se présente lui-même comme « authentique et fraternel ».

J’ai laissé un commentaire tel que celui-ci (comme sur d’autres pages parmi plus de 5000 qui utilisent cette photographie) :

Je suis l’auteur de la photographie intitulée « le bonheur d’être simplement là » et bien que le bonheur ne soit réel que lorsqu’il est partagé, il aurait été respectueux de demander l’autorisation de la diffuser ainsi que de citer le nom de son auteur, droit inaliénable donc au respect du nom de l’auteur avec la mention « © Cyril Delacour, tous droits réservés » comme sur sa page d’origine (2004), ainsi que de placer un lien vers http://www.cyrildphotos.com/ en échange de bon procédé. Pour en revenir au bonheur, ce n’est pas un « droit » que l’on prend seul, pour soi, car à mon sens le bonheur est inévitablement lié à son contexte. Un contexte où le partage, le respect et la confiance sont des valeurs humaines incarnées par des faits, des paroles et des actes. Je veux bien partager cette photographie, et c’est ce que j’ai fait, comme un arbre ne vend pas ses fruits, cependant prendre le droit de ne pas citer l’auteur de ce portrait d’ange n’induit pas le respect qui fait cruellement défaut ici-bas, n’est-ce pas ? Merci de votre bonne compréhension.

J’avais ajouté un PS à propos de mon problème avec le député PS Pascal TERRASSE.

Voilà sa réponse du 5 mai à 9 heures 22 :

Bonjour.
Je suis le laborieux auteur et titulaire du blog qui a utilisé l’une de vos photographies sans vous en avertir.
J’ai bien reçu votre message concernant votre photo et le fait de ne pas avoir procédé comme je l’aurai du à votre intention.
Je le regrette pour vous et votre art, mais j’assume le fait que cette photo ai pu à ce moment transcrire très exactement le ressenti qui était le mien, vis à vis d’un texte et d’une situation politique anxiogène pour tout le monde. Mais peut-être est-ce pour cela aussi que la création d’une œuvre entraine souvent des interprétations bien différentes de celle que l’auteur avait lui même au moment de la réalisation.
Concernant l’affichage de vos droits , il est réalisé et j’espère qu’il contribuera à faire mieux connaitre votre site.
Cordialement et avec mes sincères excuses.
Alain Detavernier

Et la mienne à 12 heures 06

Bonjour,

Merci pour votre réponse rapide et l’ajout de la mention demandée.

Pour ce qui est du « droit » je constate qu’il est bien tordu, puisque j’essaye de protéger mon enfant d’une entreprise à but non certain et que leur justice me l’enlève en toute mauvaise foi et me criminalise.

Je suis convoqué à la Cour d’Appel de Nîmes ce mercredi 7 mai pour avoir posé une question au greffier de mon affaire familiale, à la demande du Parquet qui s’est montré incompétent en me sanctionnant à une peine d’un mois de prison avec sursis hors-la-loi 433-5 alinéa 1, s’agissant d’une personne chargée d’une mission de service public et non d’une personne dépositaire de l’autorité publique (faits prévus par l’art. 433-5 alinéa 2).

« Êtes-vous vous aussi une enflure de franc-maçon ? »

Si la plainte est requalifiée, je ne crois pas avoir le droit de reformuler ma question ainsi : « êtes-vous vous aussi victime de cette secte ? »

À bon entendeur…

Mais je suis allé faire un tour sur son article, et voici ce que j’y ai vu :

La vie est belle, quand le bonheur est là!
La vie est belle, quand le bonheur est là!

J’ai alors envoyé un « PS » à 12 heures 26

PS

Je vois qu’il n’y a toujours pas la mention demandée ici : http://www.alaindetavernier.com/article-la-vie-est-belle-quand-le-bonheur-est-la-46859127.html
et que, de plus, mon commentaire n’est pas visible.

De mauvaise foi ?

Sa réponse de 14 heures 13

La mauvaise foi ne saurait-être une réponse à la hauteur de ce qu’inspire cette photo. Simplement une activité personnelle qui suffit en soi !
Concernant votre commentaire, il est en ligne et lié à l’article concerné. Par contre, seule la partie concernant la photo est publiée car le reste est une affaire juridique et personnelle, qui ne peut y figurer.
Merci et bonne chance à vous.

Et la mienne à 15 heures 18 :

Re,

« Concernant l’affichage de vos droits , il est réalisé et j’espère qu’il contribuera à faire mieux connaitre votre site. »

J’ai constaté que ce que vous avez écrit n’était pas vrai au moment où vous l’avez écrit. Vous avez publié mon commentaire (tronqué) après 12 heures 22 aujourd’hui, moment auquel j’ai fait cette capture d’écran diffusée avec nos échanges sur cette page.

De plus, s’agissant du droit inaliénable au respect du nom de l’auteur, votre page de commentaires n’étant affichée qu’à la condition de cliquer sur un lien, la mention « © Cyril Delacour, tous droits réservés » n’est pas visible afin de m’identifier clairement, c’est à dire à proximité de la photographie diffusée (usuellement sous le visuel).

Plusieurs prérogatives sont attachées à l’exercice de ce droit moral. A ce titre, le Code de la Propriété Intellectuelle précise que « l’auteur jouit du droit au respect de son nom, de sa qualité et de son œuvre » (art. L.121-1 CPI).

  • Le droit de divulgation
    En énonçant que « l’auteur a seul le droit de divulguer son œuvre », le Code de la Propriété Intellectuelle reconnaît à l’auteur seul la faculté de rendre ou non son œuvre publique (sauf dans le cas particulier des œuvres audiovisuelles). C’est une prérogative très forte puisqu’aucune exploitation n’est possible tant que l’auteur n’a pas accepté la divulgation. Cette communication au public est réalisée aux conditions et suivant les procédés d’exploitation qu’il souhaitera (art. L.121-2 CPI).
  • Le droit de paternité
  • Le législateur reconnaît à tout auteur d’une œuvre d’apposer son nom sur l’œuvre. Mais il a également le droit de demeurer anonyme ou d’utiliser un pseudonyme.
  • Le droit au respect de l’œuvre
  • L’auteur peut s’opposer à toute modification, suppression ou ajout susceptible de modifier son œuvre initiale, tant dans la forme que dans l’esprit.
    Le droit de retrait et de repentir
  • Moyennant au préalable une juste indemnisation de celui auquel l’exploitation de l’œuvre a été cédée, l’auteur peut décider soit de modifier l’œuvre (droit de repentir) soit d’en faire cesser la diffusion (droit de retrait) et ce à tout moment avant la fin de son contrat d’exploitation sans avoir à justifier son choix.

Ainsi, je me vois contraint de vous opposer mon droit de retrait et vous demande par la présente de retirer cette photographie de votre blog, et ce précisément pour des raisons d’ordre moral, ne désirant en aucune manière valoriser vos écrits et vos actions. Ce qui est fait, est fait, j’en témoigne en vous apportant la vergogne dont vous semblez avoir besoin et me réserve le droit de porter plainte contre vous pour ces 4 années d’utilisation illégale de cette photographie au cas où vous voudriez m’attaquer pour avoir diffusé notre « échange » qui est pour le moins contradictoire avec ce mot vous présentant « authentique » (ce n’est pas l’habit qui fait le moine) comprenant ce que « fraternel » signifie pour vous.

Liberté aliénée au pouvoir d’achat, égalité comme déni des réalités, fraternité maçonnique et divisions pour les électeurs qui se prennent pour des citoyens.

Voilà ! Il a retiré la photographie de son blog.

Député PS Pascal TERRASSE

Au sujet de cette vidéo du 25 mai 2014 montrant la réaction violente du député Terrasse aux questions abordant :

  • La boulette dans la main du député qui est notre échange public sur le réseau social Twitter (ci-dessous) du 29 et 30 septembre 2012 juste avant la première audience devant le JAF Jean-Louis GALLAND qui a produit l’ordonnance de non-conciliation du 15 oct. 2012, échange affiché à l’entrée de l’école et qu’il a arraché en entrant.
  • Le bulletin de vote qui lui est tendu est celui de la liste de la circonscription sud-est de Démocratie Réelle homologuée par la commission de propagande malgré ces mots « taré » « fou » « dingue » etc.
  • La loi qui m’interdit d’aller dire « bonjour » à mon enfant à la rentrée des classes le matin (courrier à la directrice de l’école), celle de la nouvelle JAF Caroline OUDOT-DENES dont la dernière ordonnance est un faux en écriture publique (une preuve parmi d’autres ; la réponse de la Cour d’Appel de Nîmes alors que selon ce qu’elle a écrit à plusieurs reprises je n’aurais pas interjeté en appel de cette décision du 15 oct. 2012) aggravé par sa position de personne dépositaire de l’autorité publique.

Le député TERRASSE est passé sur le tournage de TOM LE CANCRE, j’ai fait appel à lui comme médiateur, lui proposant afin de blanchir cette entreprise à but non certain (dissimulation du travail non-déclaré d’une 15ène d’enfants en plus d’une grande partie de l’équipe, soit environ 80 personnes sans compter les musiciens, ce qui ne peut pas être régularisé pourtant à la demande de ce même député) d’investir dans une association culturelle à Saint Montan, puisque la production de ce film de cinéma (N°7 occultée) est une association loi 1901 présidée par son ami le « réalisateur renommé » Manuel PRADAL.

Voici ses courriers.

Ensuite je lui ai communiqué le document de la DIRECCTE de Paris et je lui ai demandé d’affirmer mon opposition à l’utilisation de l’image de ma fille (méprisée avant que je n’en perde l’exercice de l’autorité parentale). Il a alors mis fin à sa « médiation » pas neutre pour un sou.

Voici un échange twitter à peine 10 jours avant l’audience avec le Juge aux Affaires Familiales Monsieur Jean-Louis GALLAND, un « petit juge ».

Twit Terrasse 29 sept

Vous comprendrez le sens de cette plainte du 29 janvier 2014 alors que ma plainte du 18 septembre 2012 n’est même pas enregistrée au Parquet de Privas (Procureur de la République Monsieur Dominique SÉNÉCHAL).